Bonjour Kevin01.

Pour trouver des renseignements techniques et règlementaires vous pouvez vous rendre sur ce site :
https://www.toutsurlisolation.com/
C'est une mine de renseignements.
Bonne journée.
Denis

Bonjour Chewemy,

Normalement, l'IBR se pose au sol.
Si j'ai bien compris, vous souhaitez la poser en rampants ?
Si tel est le cas, vous prenez le risque de voir votre laine s'affaisser et de provoquer un pont thermique.
Normalement, en vertical ou en rampant, il faut une laine semi-rigide qui ne s'affaissera pas sous son propre poids.

Bien cordialement.
Denis.

Bonjour.
Il faut bien avoir à l'esprit (mais c'est apparemment votre cas) que le papier Kraft n'est pas un pare vapeur.
Alma1 a donc raison en ce qui concerne la membrane Vario.
Bonne journée.
Denis.

Bonjour Timix.

GL a raison il faut absolument éliminer tous les carreaux qui sonnent le creux.
On ne pose pas de carrelage sur un support non stable.

Pour de plus amples explications je vous laisse lire notre page dédiée à ce sujet.
Comment poser du carrelage sur du carrelage

Cordialement.
Gilles pour l’équipe Weber.

Bonjour.

@Alma1
Je crois que vous n’avez pas compris le sens de ma remarque. Il n’est nullement question de faire de la publicité comme j’aurais pu le faire en parlant de plaques Habito® ou de Placo® Phonique par exemple pour le nouveau parement mais de défense de la marque au sens de la propriété intellectuelle et commerciale.

Si vous ne le faites pas, vous vous retrouvez dans la position de Frigidaire, Kleenex, Mobylette, Polyane pour n’en citer que quelques-uns. Votre marque est banalisée et se trouve perdue si vous n’avez pas montré que vous défendiez son appellation. On dit donc plaque de plâtre et non "placo" et nous y tenons. Le ® , marque déposée, n’est pas là par hasard. Nous ne recherchons absolument pas et bien au contraire de la pub quand les "gens » parlent de « placo".

@Manxgp
Fabrice.

Ce n’est pas par rapport à la tenue mécanique ou à l’apparence du kraft qu’était mon intervention mais par rapport au gain de performance d’isolation thermique, gage de plus de confort et source d’économies d’énergie et par conséquent financières sans parler de la réduction induite des émissions de gaz à effet de serre.

Vous n’aviez pas précisé initialement que votre chantier était démarré et déjà bien avancé. Il aurait été intéressant de poser la question plus en amont.

Attention, des cloisons en plaques de plâtre, il en existe des plus ou moins performantes au niveau isolation acoustique selon la solution retenue. Le soin apporté au montage compte aussi.

Cordialement.

Bonjour.

Le "collage" de plaques de plâtre (Placo® est une marque) sur un support solide et adhérent se fait à l’aide de Map.

Pourquoi ne pas envisager une dépose totale de l’existant pour repartir avec une isolation plus performante et obtenir un revêtement intérieur plan et lisse (plaque de plâtre) comme vous le souhaitez.
La laine que vous avez actuellement doit être de lambda 38 ou approchant avec donc un R de 2 environ (valeur pour 75 mm) pour une épaisseur totale du doublage de 140 approximativement si on compte une plaque de plâtre supplémentaire + épaisseur de colle.

Si vous mettez à la place une laine en lambda 32 en 100 mm (avec donc un R de 3.15 qui est le grand minimum recommandé actuellement) + fourrures (pose en système Optima) + plaques de plâtre, vous aurez une épaisseur totale de 130 environ (et 150 avec un GR en 120, R=3.75 et un cm supplémentaire ne se verra pas beaucoup à la finale). Vous pouvez en profitez pour rénover votre électricité dans cette partie-là en la faisant passer entre isolant et plaque de plâtre.

Le parement sera neuf et lisse (si bien posé ;) ) comme vous le désirez. Vous pouvez choisir le type de plaque de plâtre adapté à vos souhaits. Vous gagnez en économie d’énergie et en confort en prime et repartez sur du neuf. L’isolation thermique par l’extérieur pourra attendre un peu surtout que ce sont des travaux importants au moins financièrement parlant.

Toute isolation doit être assortie d’une ventilation appropriée pour limiter les risques de pathologies dues à l’humidité.
Cordialement.

Bonjour,

La pose (peu pratiquée) de doublages collés en rampants est limitée à une épaisseur de 80 mm (cf. DTU 25.42).

Il doit bien exister d’autres moyens d’isoler vos rampants : suspentes + fourrures + isolant sont peut-être des solutions envisageables chez vous.

Pourquoi avoir des craintes (et je dirai même bien au contraire) si vous avez une VMC (à condition qu’elle soit adaptée) ?
Cordialement.

Bonjour à tous,

@Gad,

Connaissez-vous les plaques de plâtre Habito® Plaque de plâtre Habito ? Elles sont sans rivales actuellement au niveau résistance aux chocs et accrochage et fixation de charges lourdes.

Les tests aux chocs que nous avons réalisés sont sans égal. Juste une petite vidéo hongroise.
Les plaques Habito se fixent sur une ossature métallique classique (rails et montants ou fourrures et cornières) mais avec des vis spécifiques Habito.



Avec des points de percements distants de 40 cm minimum, on peut fixer jusque 20 kg par point avec une simple vis à bois de diamètre 5 et jusque 60 kg par point avec une cheville métallique à expansion. Les soucis d’accrochage de charges lourdes ne sont plus qu’un lointain souvenir et la résistance aux chocs est à l’avenant. Nos tests avec une série de chocs répétés sont également sans discussion possible. Je vous invite à les reproduire avec un marteau accroché à une ficelle et à compter le nombre d’impacts nécessaire pour venir à bout de différents matériaux (plaque de plâtre standard, Fermacell, parpaings, etc…, vous serez surpris.

Bien cordialement.

Bonjour,

Comme indiqué ici https://www.placo.fr/content/download/158198/1991315/version/1/file/doublage-placostil-sur-montants.pdf en page 238 (numérotation papier) voir aussi figure c, la pose de rail sur sol brut, nécessite l’interposition d’un film polyéthylène entre rail et sol brut avec une hauteur suffisante pour dépasser d’environ 2 cm après relevé le niveau du sol.

Les joints peuvent se faire avant ou après de couler la chape liquide sans qu’il y ait une contre-indication particulière. Souvent, les joints sont faits dans la continuité de la pose des plaques selon l’organisation du chantier (plaquiste jointoyeur ou non, temps disponible, etc…) mais cela n’a pas d’importance.
Cordialement.

Bonjour faustine32,

Avez-vous voulu dire que votre cloison en aggloméré se trouve-t-elle entre un plancher et un plafond en béton ?

Quelle est l’épaisseur que vous pouvez consacrer à cette isolation acoustique ?
Cette isolation pourrait d’ailleurs ne pas suffire si les sons passent aussi par la dalle béton (ainsi que le plafond).
Quelle est la nature des bruits à traiter ; aériens (voix, musique, TV), impacts (chocs), équipements (ascenseurs, etc..) ?
Quelle est l’intensité de ces bruits ? Comme vous le voyez, un diagnostic préalable est nécessaire afin de déterminer la solution adéquate pour résoudre le problème, ce diagnostic nécessite parfois une étude acoustique.

Plusieurs types de solutions existent selon l’épaisseur que l’on peut y consacrer avec des résultats qui varient en partie en fonction de l’épaisseur mise en œuvre : Appliquer une sous couche acoustique sur la paroi existante puis poser un nouveau parement de préférence avec une plaque à isolation acoustique type Placophonique (épaisseur totale environ 1.5 cm)
- Appliquer l’aide de profilés spéciaux une solution où une plaque de plâtre est associée en usine à une laine minérale spécifique (type Rénomince) (épaisseur environ 5 cm)
- Réaliser un doublage (de préférence désolidarisé) en y insérant une laine minérale type PAR et toujours en employant de préférence une plaque phonique (reconnaissable à son revêtement cartonné de couleur bleue). Il est aussi possible de poser un parement double peau (deux plaques de plâtre en prenant soin de décaler les joints).
- Pose un complexe de doublage collé (à condition que la paroi soit bien plane) avec un isolant « spécial » acoustique : PSE élastifié par exemple.

L’efficacité des diverses solutions peut se comparer à l’aide la mesure de l’affaiblissement acoustique (en dB). Certaines solutions sont adaptées à de parois pleines, d’autres à des parois creuses et donc, la nature de la paroi à traiter, est un paramètre important.

Quelques compléments sur le sujet : Le principe souvent appliqué pour faire de l’isolement acoustique est le principe masse-ressort-masse.
Un grand soin doit être apporté dans la mise en œuvre : là où l’air passe, le bruit passe (loi d’étanchéité). Il faut éviter d’avoir des ouvertures en vis-à-vis de la cloison (prises de courant par exemple).

Un peu plus de lecture sur le sujet : toutplaco.com Solutions isolation-phonique et toutsurlisolation.com Améliorer l'isolation phonique

Je reste à votre écoute si vous avez des questions.
Cordialement.

Bonjour,

Votre bâtiment étant ancien, il n’est soumis à aucune norme de réglementation acoustique.
Si votre voisin avait fait des travaux quelconques, ces derniers n’auraient pas dû dégrader l’acoustique existante.

D’autre part, vous parlez de nuisances phoniques, quelles sont-elles ?
Il faut savoir que traiter les problèmes d’acoustique n’est pas chose facile et encore moins dans l’ancien.

Les sources de nuisances sont diverses (bruits aériens intérieurs et extérieurs, bruits d’impact, bruits d’équipement, etc) tout comme les vecteurs de transmission : murs, sols, plafonds, percements divers, etc.
Le niveau d’émission et de réception des bruits est aussi un des nombreux paramètres.

Seule une étude acoustique pourrait vous donner les préconisations adaptées pour réaliser les travaux nécessaires à la réduction des nuisances et en fonction de vos exigences.

Dans les généralités, pour vous protéger des bruits aériens émanant de votre voisin du dessus, la réalisation d’un plafond désolidarisé (soit sur suspentes soit sur rails et montants) avec plaque de plâtre acoustique (de préférence) et isolant fibreux type laine de verre est souvent préconisée.
Le seul traitement du plafond peut ne pas suffire suivant le système constructif employé (dont la fixation du plancher à la structure) et l’on parlera alors du principe de la boîte dans la boîte.
Les bruits d’impact (pas, chocs, etc.) seront traités du côté de la source d’émission.
Il n’est pas forcément évident d’intervenir chez votre voisin…

Bien cordialement.

Bonjour,
Le cm laissé en pied de plaque est prévu pour faciliter la pose de la plaque et limiter les risques d’absorption d’eau accidentelle pendant les travaux.
Si je comprends bien, il s’agit de la mise en œuvre d’un nouveau carrelage sur un carrelage existant.
Il n’est pas obligatoire d’avoir 1 cm d’espace entre le dessus du carrelage final et le bas de la plaque de plâtre.
De ce fait, vous pouvez prévoir le cm en pied lors de la pose de la plaque BA 13 et ensuite mettre en œuvre votre carrelage final. Le cm se retrouvera dans l’épaisseur de ce dernier carrelage.
J’ai une interrogation dans le titre et la première ligne de votre post.
Sachez que les plaques de plâtre seules n’ont qu’une résistance thermique limitée et faible et n’isoleront que très peu si elles ne sont pas associées à un isolant.