Bonjour "invité", Paul.

Problème classique. Pas de signature donc aucune obligation de part et d'autre.
La position du MO n'est bien entendu pas très claire. Il a changé d'artisan... Pourquoi ??
En attendant l'autre se couvre un max et s'il peut en empocher un peu plus au passage il serait bien bête de s'en priver.
Tentez une discussion avec le MO.... MAIS j'ai des doutes quant à l'aboutissement.
Une règle, faire établir 3 devis pour un travail rigoureusement identique. Signer celui qui vous semble le plus correct, et enfin verser un acompte de 20% pour arrêter l'affaire. Car un devis n'est pas valable éternellement (de 3 à 6 mois dans le meilleur cas) ainsi l'artisan est tenu lui aussi de tenir un délai.
Car beaucoup remplissent le carnet de commande sans tenir trop compte des dates qui pourraient arranger les clients.
Cordialement. M37.

Bonjour "invité".

Compte tenu de la valeur de ce type de meuble, mieux vaut contacter un ébéniste qualifié.
Cordialement. M37.

Bonjour "invité".

Une suggestion : Il est possible que sur un carrelage de moindre qualité il y ait des "remontées" d'alumine dues aux produits à base de ciment.
A faire confirmer, non pas par un marchand qui bien entendu ne vend que de bons produits, mais par un labo spécialisé.
J'ai vu le cas sur des pierres trop poreuses... Est-ce la même chose ??
Cordialement, M37.

Et oui, évident. Mais cela ne m'avait pas effleuré l'esprit. Par contre, je prends note... Et espère m'en souvenir... A mon âge !
En coffrage les bois ne doivent pas être trop secs, car plus ils sont secs plus ils sont cassants.
Merci pour votre réponse.
Cordialement M37.

Bonjour à vous deux,

Très souvent sur le site, je suis tout à fait d'accord avec le post de "robin71", mais je voudrais juste lui poser une question :
"Pourquoi une section 18x18 fend elle moins qu'une section 20x20 ?" Ancien coffreur mais pas charpentier, le M37.

Au demeurant, j'ai la même chose sur un appentis qui a été monté en 1986, les poteaux verticaux sont fendus mais au bout d'un certain temps cette dessiccation a dû se stabiliser, et plus rien ne bouge.
Par contre je connais le gars qui a posé ça et je pense que le taux d'humidité devait être bon.
Cordialement, M37.

Bonjour celi,

Une petite bière n’empêche pas de faire des bandes placo correctes.
Manque de matière derrière la bande donc de l'air, et au bout d'un moment cela se décolle. Logique.
Remède, ôter le plus proprement possible ces endroits fragiles (arrachage, coupe au cutter sans attaquer le carton du BA13...). Puis reposer une bande et sur ce qui reste et sur la partie enlevée.
- Étaler votre colle à bande juste un peu plus molle que ce qu'il faut. A peine plus mouillé que cela ne doit, surtout pas de "soupe".
- Poser la bande.
- Passer tout de suite la seconde couche à la bonne consistance.
La première couche ayant pour but de "mouiller" la bande.
Sinon vous pouvez aussi poser de la bande armée. Plus cher mais tellement plus efficace.
Troisième solution, obliger l'artisan à refaire ce qui est raté... C'est le plus logique. Et ensuite pour le remercier vous pouvez toujours lui payer une bonne Leffe !
Cordialement, M37

Bonjour "invité",
Je vous propose de recouvrir de fibre de verre l'ensemble de la glissoire avec masticage type carrossier (nombre de couches nécessaire) ponçage adéquat et peinture de sol.
Cordialement, M37

Bonjour "invité".

Quelques questions avant réponse :
1° Vous dites dalles de 3 cm, sont-elles parfaitement calibrées en épaisseur ?
2° Quel est l'état de votre dalle béton ?
3° Avez-vous de la marge sous des passages de portes par exemple et combien ?
Concernant la "tachabilité", ce problème peut se retrouver au moment de la confection des joints et non pendant la pose des dalles... A moins de bosser comme un baouco...
Cordialement, M37.

Merci pour votre retour. M37

Bonjour mamy76,

Toute plantation d'arbre est à proscrire près d'un mur quel qu'il soit. Mais il faut tout de même faire la différence entre un chêne et un rosier... Si j'ose dire.
Votre arbuste boule de neige ne doit pas dépasser 2 m de haut, s'il est à 2 m du mur vous ne risquez rien.
Par contre, le lilas, c'est un peu comme le laurier sauce, cela devient très haut, très envahissant (à cause des rejets) et les racines sont incontrôlables. Sauf s'il a été conduit sur tronc. Dans ce cas il fera un pivot en profondeur et ne vous ennuiera pas. Encore faut il qu'il soit au moins à 3 ou 3.50 m d'un mur.
Pour la petite histoire, j'avais un laurier sauce sur tronc à 30 cm d'un mur maçonné de 2 mètres de haut sur 40 cm de large à la base.... Il m'a fissuré le mur. Une fois arraché, le mur a repris sa place "approximative".
J'ai dû refaire un enduit grillagé pour cacher la misère.
Cordialement, M37.

Bonjour,

Moralité, la peinture ou son support ne n'est pas de bonne qualité.
Il vous faut trouver une solution pour ôter cette peinture. Mise à part le ponçage... Je ne vois pas grand chose d'autre.
Qu'est-ce qu'il y a sous la peinture, papier, plâtre... ???
Le problème vient d'une réaction chimique entre la colle et un autre élément.
Cordialement. M37.

Bonjour jessiflo,

Dans un premier temps je vous renvoie aux posts 5399 et 6366 qui traitent de problèmes similaires.
Nettoyage façade maison catastrophique
Problème nettoyage façade
Il semble que ce produit ne soit pas l'idéal sur certaines façades. Je ne sais pas lesquelles.
Ma réponse est dans le post 6366. Juste ne pas tenir compte de ce que je dis au sujet de l'écologie, car j'ai bien changé d'avis à ce sujet...
Personnellement, eau de javel pure (pas de plantation autour), prévoir une météo bien pluvieuse dans les 48 heures, ou bien passer au nettoyeur (mais surtout pas de près, ou bien mettre en position basse pression si l'appareil le permet).
Je pense qu'il doit s'agir de réactions chimiques. J'ai tenté de me renseigner ! Réponse : "Le produit n'a pas été passé uniformément". Ben oui, et quoi encore...
Tenez-nous informé du résultat, la personne du post 5399 n'ayant pas répondu, il persiste toujours un doute.
Personnellement, je traite mes façades de cette façon tous les 4 ans environ sans problème. Attention à ne pas pulvériser le chlore sur les pompes à chaleur ou clims. L'aluminium n'aime pas.
Cordialement, M37.

Merci pour le retour, tenez-moi au courant de la suite.
Un détail concernant les anciennes toitures sur génoise, depuis des temps immémoriaux ces toitures étaient réalisées en tuiles canal ; Ces tuiles à l'origine étaient mises en forme sur la cuisse puis recoupées.
On trouve donc un couvrant conduisant l'eau dans le coulant de l'autre tuile posée à l'inverse et comme à l'époque on ne posait pas de gouttières sur ce type de couverture, on laissait dépasser des génoises de 1/3 le coulant. Ce qui fait que l'eau était canalisée un peu plus loin qu'à ras du mur.
Dans votre cas, en tuile mécanique, il aurait fallu que le couvreur trouve une astuce pour sceller une tuile canal dans la génoise sous le plat des tuiles mécaniques. Suis-je à peu près clair dans mon explication ?
J'adore l'architecture et j'aime trouver des solutions... Bien entendu je ne vous propose pas non plus de casser le bas de votre toiture mais j'ai vu ce principe dans mes déplacements et c'est assez sympa... Bien que fragile.
Sinon, puisque vos tuiles dépassent, voir s'il n'y a pas moyen de fixer une gouttière... Côté esthétique ??
Cordialement, M37.

Ben voilà.... Tout est dit. Et comme j'étais dans les travaux publics sur les ouvrages d'art, ponts silos... J'ai gardé en moi le côté démesuré. Mais au moins ça tient.
Bonne soirée. M37.

Bonsoir,

Maintenant nous savons pourquoi il n'y a pas de gouttières. Aucune maison dont les murs se finissent par des génoises n'en sont pourvues. Donc un problème de réglé.
Histoire de rire, en architecture, à la grande époque de la construction italienne Gènes, Naples, Venise (1400 à 1800)... Plus les hauts des murs comptaient de rangs de génoises, plus le seigneur des lieux était riche....
Par contre, il est logique que le vent rabatte la pluie sur le mur. A Argelès ou ailleurs. Ce qui est certain, c'est que ce ne sont ni des champignons (rouge/rouille), ni des mousses (vertes/jaunâtres). Reste deux solutions, ce sable qui se déposerait sur la toiture de temps en temps et quand il pleut l'eau en lavant la couverture entraînerait le sable + le vent...= Un dépôt de sable dans les aspérités de l'enduit.
Le sable du désert ou des plages du Nord est une silice très dure qui ne demande qu'à être lavée a l'eau avec une faible pression (jet d'arrosage de jardin) et brosse nylon. Un peu astreignant mais pourquoi pas si le résultat est là. Pour le sable, je ne vois pas d'autre solution.
Mais par rapport à la couleur, je pense aussi à un dépôt calcaire, qui comme le sable se déposerait sur le toit, et "même punition", pluie + vent.... Et là il faut chercher la cause. Voir chez vos voisins si le problème existe, n'y a t'il pas une usine quelconque dans le coin... Cimenterie ou usine qui extrairait du calcaire pour la fabrication de chaux... A partir de là on en revient aux acides, mais lesquels?
En tous cas pas des acides classique du commerce (chlorhydrique ou sulfurique; ce serait la mort assurée de votre façade).
Je vous propose de faire deux essais (carré de 30x30) sur des partie un peu discrètes, derrière les plantations par exemple:
- La première avec du vinaigre d'alcool blanc, puis rincer abondamment au bout de heures.
- Idem ailleurs avec de l'acide citrique dilué. 70% acide, 30% eau.
Ensuite si ça ne marche pas il faut aller avec votre photo chez un "vrai" marchand de produit bâtiment en espérant qu'il ait déjà eu affaire a ce cas. Mais surtout ne vous laissez pas influencer par des produits miracles. Çà n'existe pas, c'est une question d'argent. On doit vous proposer un remède très simple, ce qui est très souvent le plus efficace.
Cordialement, M37.

Bonjour,

Cette photo pourrait peut-être m'aider à mieux évaluer le problème...
Construction neuve de 2014... Pourquoi n'y a t'il pas de gouttières ?
D’où ma surprise et ma remarque par rapport au vocabulaire régional. Dans le S.O., un trou dans le toit et cela devient une gouttière...
Pour moi c'est une canalisation en bout de pente du toit qui suit une pente vers une évacuation verticale.
Évacuation qui donne dans un regard qui doit lui-même s'évacuer vers la rue et en aucun cas vers un TàE ou un assainissement autonome.
Donc on peut concevoir que le vent rabatte la pluie vers le mur si ces gouttières n'ont pas été installées, mais pour moi c'est plutôt le bas du mur qui risque, et dans quelles proportions, et avec quels inconvénients précis...
Votre toit a bien un débordement. De combien ?
Cordialement, M37.

Bonjour.

Vous dites plus haut, poutre fragilisée par humidité en bout, cela se voit sur la photo... C'est pour cette raison que je vous conseille un fer qui dépasse suffisamment de la partie fragile vers la bonne, et des cadres pour ceinturer et tenir ainsi la bascule au cas où la poutre viendrait à flancher.
Somme toute, c'est cette partie du fer maintenue par ces cadres qui tiendra le bout de la poutre s'il elle venait à être en porte à faux.
Encore une fois c'est sur place qu'il faut évaluer le mal. Derrière l'écran, je préfère voir un peu grand par précaution.
Donc si ces liteaux peuvent suffire, par la peine de se rajouter du mal pour rien. Bonne soirée.
Cordialement, M37.

Re,
Cette idée me convient très bien, ou bien du plâtre un peu liquide pour qu'il s'infiltre bien et un plâtre un peu plus ferme pour faciliter à finition. Ou aussi du MAP.
Par contre, une fois le ragréage fini, d"un bout du couloir il y aura une plinthe de 15 qui fera 13 au milieu et cela risque de se voir.
Cordialement. maçon37.

Pour invité, je tente une réponse !
Vous m'avez l'air dans une sacré galère avec cet appart. Au rez de chaussée tout aurait été plus simple.
Pour renforcer cette poutre, ce qui serait bien ce serait de glisser un fer dessous (largeur 50 à 70 mm) de le "glisser" au maximum dans la partie inférieure au niveau du scellement et de le ceinturer sous la poutre avec deux cadres en ferraille.
Ces cadres peuvent être réalisés avec des fers plats et des tiges filetées. Et ensuite vous re-scellez le tout dans le logement prévu. Ceci devrait consolider la partie de la poutre fragilisée.
Je me demande si ce liteau que l'on aperçoit tient grand chose ???
Bon c'est une solution il y en a surement d'autres...
Cordialement. M37.

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Bonsoir Steph18 (du Cher probablement ?)

Un détail m'est revenu concernant ces anciennes normes et "appellations contrôlées". Je ne sais pas si cela pourra vous servir, mais...
Concernant le ciment fondu de chez Lafarge, utilisé seul, ce ciment est réfractaire. Je l'ai utilisé sur de vieilles chaudières anglaises Babcook & Willcoks pour refaire les foyers.
Ensuite, la main était passée au personnel qui s'occupait de la chaufferie et bien entendu ma présence n'était plus indispensable.
A l'époque c'était des travaux que notre entreprise faisait en régie et cela s’arrêtait à la partie "maçonnerie" purement et simplement. Désolé mais je ne me souviens pas de savoir quoi que ce soit sur la méthode de montée en température.
Par contre il est bon de savoir que ce ciment fondu, mélangé à du ciment ordinaire devient un ciment à prise rapide (voire très rapide) et conserve les qualités de prise et durcissement d'un ciment ordinaire. Toutefois ce mélange est interdit pour tout ce qui est porteur (dalles, poutres...).
Contrairement au ciment prompt qui n'est admis que pour des scellements sans exigences particulières (en plomberie bâtiment par exemple).
Cordialement, M37.

Bonjour doublej.
J'ai utilisé votre photo. Le trait orange pourrait représenter soit un chant plat vissé ou cloué sous le dessous de la planche de rive, à cheval sur la planche et les PVC dégradés.
Si cette planche de rive est en bois, gratter poncer et coller avant clouage ou vissage.
Si cette planche de rive est elle-même en PVC vous pouvez Y coller une cornière en PVC avec une colle adéquate comme celle utilisée pour coller les canalisations PVC.
Je ne vois pas beaucoup d'autre solution.
Cordialement, M37.

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Bonjour Administrateur,

Ces poses sont bien sympathiques comme d'habitude, et plus ça va moins j'ai l'impression de rajeunir.
Surtout en voyant la 6ème... . P....n que ça doit faire mal !
Cordialement, M37.

Bonjour barca,

"ON" le fait chez lui, mais ne le faites pas chez vous.
Essayez de mettre de l'acide sur un gravât contenant de la chaux ou du ciment.. Regardez ce qui se passe et vous comprendrez bien vite.
Par contre je me méfie des appellations régionales, vous dites : "nous n'avons pas de gouttières", pouvez-vous me dire ce que vous entendez par gouttière s'il vous plait ?... J'espère que vous pensez au "truc" en zinc ou PVC qui recueille l'eau vers un écoulement. A définir, je reste à votre disposition pour une suite !
Mise à part ces traces d'eau... quoi de plus : verdissures, développement de champignons...
Pouvez-vous joindre une photo de ce bord de toit ?
Cordialement, M37.

Bonjour Ikalus,

Je pense qu'il n'y a pas 36 solutions à envisager. Faux plafond monté sur rail maintenu par des suspentes.
40cm de laine de verre. Il ne faudra pas lésiner sur les suspentes.
Par contre vous perdez la luminosité du local. De toute façon si vous faites de puits de lumière, vous perdrez l'avantage de l'isolation phonique.
Bien entendu le tout sera amélioré par un placo phonique. Possibilité de le poser en double peau.
Ceci pour dégrossir votre projet.
Une autre idée me vient en tête : A-t-on le droit d'accueillir du public dans un bâtiment avec ce type de couverture ? Je ne connais pas les règles actuelles ? Dans ce monde nouveau mais bizarre !!!
Cordialement, M37.

Bonjour "invité",

Attention aux réactions chimiques entre produits... Faire un essai préalable sur une face cachée.
Pour l'extérieur mieux vaut prendre une peinture glycérophtalique. De toute façon rien ne vous évitera le ponçage avent de peindre.
Cordialement, M37.

Bonjour "invité".
Qu'y a t'il sous ces solives ??? Cordialement, M37.

Bonjour "invité"
Pas de menuisier sur la toile... Je me lance !

Première chose : Une poutre horizontale est bien une poutre, une poutre verticale, c'est un poteau. Bon ! Pas graaave...
Donc à partir de là... Votre charpente ne repose pas sur les cloisons, donc aucune difficulté pour changer un poteau pas un autre, surtout si ce ou ces poteaux correspondent à une poutre béton en sous sol.
Photo 1 : Ce serait plutôt un "nez de cloison" dont vous avec besoin pour arrêter cette cloison. Ces pièces de bois se vendent toutes faites dans les magasins de bricolage. A voir suivant épaisseur de votre cloison, sinon il faudra vous en fabriquer une.
Photo 2 : Les marches sont fixées au limon de l'escalier, ce limon quant a lui doit être vissé au mur. Donc , pourquoi mettre un support ? Avant il y avait un mur (plutôt une cloison), mais en toute logique ce n'est pas une cloison qui porte un escalier.
Photo 3 : Poutre horizontale à renforcer... Il n'y a que deux solution, soit la remplacer par une section plus adéquate suivant charge, ou bien la soutenir avec 1 ou 2 poteaux
Photo 4 : Si je comprends bien cette photo est le résumé de vos travaux.
Cordialement, M37.

Donc pour tout ce qui est soutien vous devez faire des poteaux qui s’arrêtent sous les poutres. Pour ce qui est création, je vois que vous avez un quadrillage bois (ancien soutien de faux plafond certainement) vous pouvez vous en servir en vous vissant dessus car s'il dépassent cela n'a pas d'importance.

Retour appréciable dans ce monde basé sur l'individuel.... Merci.
J'ai passé dans ma "tendre" jeunesse 5 années à Trélissac. Je garde un merveilleux souvenir de cette région, de l’accueil des gens, des couleurs, des restos... "Mais c'était avant..."
A l'époque je naviguais entre la famille et les études. Ecole de TP dans la Creuse. C'était avant 1970... Les CD n'existaient même pas !!!
Bon courage pour ces travaux à réaliser, bien cool le matin de bonne heure en rêvant aux parties de pêche dans l'Isle sur fond de cathédrale St. Front près du pont des Barry.
Cordialement, M37.

Oui l'OSB se voile s'il n'a pas un appui plan. Au sec pas de problème.
Mais imaginez une plaque posée contre un mur avec un angle de 45° par exemple, je pense qu'elle ne passera pas l'hiver s'il y a de l'humidité ambiante.
Donc en plus si vous surchargez avec d'autres plaques...
Le mieux serait de les poser à plat contre un mur et de les caler sur le mur d'en face. Si possible bien entendu.
Mais tout ceci est théorique et comme vous allez poser ça rapidos pour rentrer plus facilement dans la grange...
Bonne soirée, M37.

Ah! Ces sudistes toujours le mot pour rire... Même la pluie du NORD ne les désoriente pas !!!

Vous êtes au second, le voisin s'il y en a un doit chauffer. S'il n'y en a pas, l'humidité ne remontera pas au second.
Sinon pour l'ordre dans les couches c'est bien ça. Et au besoin vous pouvez même rajouter des dalles plancher en OSB sur le ragréage si vous devez faire un rattrapage de niveau.
Bonne soirée, M37

Il pleut par averses entre deux coups de chaleur dans le sud ouest... Les tomates n'ont pas besoin de moi.
Je suis en ce moment à l'ombre sous la voiture... J'aime pas le cambouis.

Il serait plus sage de ragréer sous l'agglo actuel car l'agglo va "pomper" l'eau du produit. Et voire à ragréer en posant un polyane ou du vieux balatum, pour les mêmes raisons.

Re,
Indre et Loire tout le temps de ma vie professionnelle... 43 ans . Manu n'en reviendrait pas..
Dans le 82 maintenant pour la retraite... Il parait que la chaleur est bonne pour les rhumatismes...
Pas de joint pour carrelage ça va "baver" partout.
Proportions pour mortier, 2/3 sable 1/3 ciment et faire un mélange assez compact. Il faudra tasser à la truelle "langue de chat" ou avec le fer a jointoyer. Puis lisser les joints avec ce fer. Ces fers se bricolent soit même suivant largeur du joint (fer rond ou fer plat, creux en V avec un bout de cornière...suivant gout de chacun).
Mais surtout gorgez d'eau votre maçonnerie. "C'est le secret de votre réussite".
Cordialement. M37.

Re,
Elles supporteront mieux le fait d'être stockées à plat comme dans le magasin si cela doit durer dans le temps.
Si vous les mettez verticalement, il faut les mettre carrément collées au mur.
Si le bas est trop décollé du mur elles se déformeront avec l'humidité ambiante.
L'OSB c'est super mais c'est un peu comme l'agglo. M37.

Re,
Un expert me demande 1200 euros !!! aie .....
Oui certes mais ce n'est plus une "bicoque" de particulier... Tout est en rapport.... Si le travail est bien fait.
Cordialement. M37.

Re,
D'abord voir au niveau des lambourdes là dessous. Soit les lambourdes ou les poutres ont bougé.
La raison ??? Il faut savoir d'ou vient le mal avant de recharger par dessus ce qui risque d’aggraver les choses et le porte monnaie n’appréciera pas... M37.

Bonjour.
Je vois que vous avez récupéré de la fatigue passée et prête pour attaquer la suite.
Ne vous cassez pas la tête avec l'OSB qui est considéré comme "inerte" puisque sans fibres longues.
Par contre il vaut mieux les stocker à plat pour éviter la déformation.
Bien entendu ne pas les laisser dehors sous la pluie ni un soleil violent. Si elles sont dehors, au moins bien les emballer dans du polyane.
Cordialement, M37, bon courage.

Bonjour Thierryz,

Ces fissures peuvent être dues à de multiples causes. Défaut de structure, erreur de ferraillage (armature BA), mauvais dosages des bétons (pourquoi en haut et pas en bas ???)... Avez-vous visité les sous sols, sont-ils sains ?
Une chose est certaine le mal est fait en 8 ans et les fers doivent être attaqués par l'oxydation.
D'où ma question : Pourquoi ce bâtiment est-il à l'abandon depuis 8 ans ? Vu le site, les investisseurs ne doivent pas manquer, donc il doit y avoir quelque chose de bien caché et cela ne doit pas concerner que les fissures apparentes.
Seul un expert sur place pourra définir la cause du mal concernant le gros œuvre et un entrepreneur sérieux faire un devis par rapport à l'expertise.
Surtout ne vous lancez pas tête baissée dans cet achat, allez voir aussi du côté de la mairie pour approfondir le pourquoi de ces huit ans sans occupation. Très douteux à mon sens.
Cordialement, M37.

Bonjour auzyris,

Encore une fois et comme bien souvent sur le site je vous déconseille les produits miracle.
Si vos joints se sont fissurés, il y a fort a parier qu'après la pose, les éléments n'ont pas été assez mouillés et l'eau du mortier de jointoiement a été absorbée par les éléments préfabriqués, qu'ils soient en brique ou en béton ou quoi que ce soit d'autre.
Pour réparer, je passerai un coup de disqueuse dans les joints et ensuite te mortier ne devrait pas être bien difficile a enlever avec un burin fin ou un ciseau a brique (genre de burin très large et fin). Puis nettoyer les fonds des joints sans laisser de poussière. Si vous avez un compresseur, un bon coup de soufflette ne sera pas de trop. Avant de refaire les joints avec un mortier de ciment (gris ou blanc), il vous faudra gorger d'eau à refus vos éléments préfabriqués.
Ce mortier sera un mortier ordinaire un peu dur pour ne pas salir les éléments et le mur dessous par des coulures de laitance de ciment. Eviter de faire ce travail en plein soleil ou quand le mur est chaud en fin de journée.
Cordialement; M37.

Bonjour,

Ne connaissant par la résistance de votre terrain, puisque vous ne trouvez pas de semelle en D10, bien entendu vous pouvez prendre du 15x35, ou doubler des plates en laissant 5cm de béton entre les deux couches inf. et sup.

Pour les poteaux et chaînages, il vous faut un enrobage de béton de 2,5 cm entre les fers et tout contact avec l'air. C'est un minimum, de façon a éviter tout éclatement du béton et risque de rouille. Donc si vos éléments de construction font 20 de large si vous faites avec du 10x10, vous êtes largement bon.
J'opte pour des équerre car sinon, il faut prendre des ferraillages plus longs , scier les cadres et plier les armatures.... Autant acheter 1 ou 2 barres de 10, couper a 120cm et couder a 90° a l'étau avec un bout de tube. Dans les deux cas, l'implantation des poteaux raidisseurs demande un peu de rigueur et de précision/ Utilisez vous des chaises d’implantation ? Si, non je reste a votre disposition pour un croquis explicatif.
Cordialement, M37.

Bonjour,

Par curiosité, a votre place je ferai ce qu'il faut pour savoir comment est fait ce mur. Cela pourrait vous être utile par la suite. L'idée du conduit de cheminée est peu probable, et j'espère que ce n'est pas le cas.
Cordialement., M37.

Bonsoir,

Je ne pense pas qu'il y ait une grosse différence de travail entre Suisse et France. Si on reprend les côtes que vous donnez, on a l'impression de tomber sur un mur très classique composé de briques creuse et d'un vide d'air (sanitaire) entre cette brique et le béton. Ce qui surprend, c'est l’épaisseur du béton : 7 cm + 22 de vide.
Ce 7 cm me dérange... J'espère que vous n’êtes pas chez le voisin ?? Entre lui et vous il devrait y avoir un mur porteur de 15 à 20 cm, plutôt 20.
Il serait bon de vous procurer un endoscope pour voir ce qui se passe dans ce mur.
Si après les 22 cm de vide vous retombez sur du béton, arrêtez-vous là, ne vous cassez pas la tête et faites vos scellements chimique.
Cordialement, M37.

Merci d'avoir lu ma prose... Vous avez du mérite !
Pour lier vos ferrailles de poteaux 10x10 vous devez utiliser des équerres de 60x60 D10Tor. Vous pouvez pour vous faciliter la tâche tenir ces fers par quelques points de soudure à l'arc. Pourquoi 60x60 c'est une règle en ferraillage qui consiste à faire un recouvrement de 60x le diamètre utilisé. Donc 60 x 10mm = 60cm.
Dessin de droite joint pour vous donner un idée des explications parfois un peu fumeuses.
Pour rappel, aucune ferraille ne doit être en contact avec la terre. Sinon, oxydation assurée.

Quand votre fondation est coulée, je vous ai proposé de monter le premier rang dessus avant la prise du béton. Cela vous aidera pour la suite. Ensuite vous pouvez monter votre mur à votre rythme et quand vous voulez, à condition que l’arase soit propre non grasse, sans terre ni mousses.

Par contre je ne comprends pas : "cela implique de lever tous les parpaings à hauteur des ferrailles".
Il est évident que vous montez vos parpaings depuis la fondation et qu'ensuite vous faites vos poteaux béton qui viendront se coller aux parpaings les ferrailles des poteaux ayant été implantées au coulage de la fondation.

J'espère avoir répondu à vos questions, si j'ai raté quelque chose, nous nous retrouverons début de semaine prochaine car je suis sur le départ.
Cordialement, M37.
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Bonjour jeje16,

Le fait d’être hors gel, très bien. Ferraillage de la semelle : Armature de semelle filante S35 - 3 filants Ø 10 mm - L. 6 m.
Pour la hauteur de la fondation, là vous ne lésinez pas et mieux vaut prévenir que guérir, mais je crois que 30 d'épaisseur doivent largement suffire car 160 + 40 environ dans les fouilles, ce n'est pas non plus un immeuble. Si vous pouvez gagner 5cm sur la longueur pourquoi pas.
Les joints de dilatation correspondent donc à la longueur des semelles. Très bien. Mais pas plus de 6 ml.
C'est vraiment le maxi.
Ferraillage pour les poteaux 10x10. Un à chaque extrémité de la clôture et bien sûr un de chaque côté des joints de dilatation. Ces ferrailles seront reliées aux semelles par des équerres de 60x60 diamètre 10 en fer Tor.
Ferraillage idem pour la chaînage. Je ne vois pas l'utilité du poteau entre chaque joint de dilatation.
Ce qui serait pas mal, ce serait de poser le premier rang sur la fondation avant qu'elle ne durcisse. Si de la terre tombe c'est toujours plus facile de dégager les têtes de parpaings.
Puis attendre au moins une quinzaine de jours que le béton durcisse avant de "charger".
En fait vous ne devez pas en être à votre coup d'essai...
Cordialement, M37.
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Bonjour,

Votre mur sera composé de la façon suivante : Fondation de 40x20 avec semelle filante en armature + le corps du mur, c'est à dire la partie verticale maçonnée à la hauteur choisie -20cm + 20cm de chaînage (voir élément prefa en photo).
- la fondation sera à définir par l'artisan suivant nature du terrain.
- le chaînage c'est le béton qui sera coulé dans ce U préfabriqué. Ce chaînage sera armé de deux fers TOR de D 10 filants.
- Votre mur faisant 25ml il sera bon de prévoir 3 joints de dilatation minimum.
Cordialement, M37.

Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

Bonjour steph18,

J'ai utilisé il y a très longtemps du ciment réfractaire dans les fours à ciment chez LAFARGE et Ciment Français sous l’œil des responsables des usines concernés. Donc j'exécutais et ne m'occupai pas à l'époque des tenants et aboutissants de "l’œuvre" accomplie.
Le mieux dans votre cas est de contacter directement des commerciaux de chez Lafarge.
Le fait de mouiller le foyer doit éviter que la chauffe ne soit trop brutale et ne fissure le corps d'enduit. Ça c'est sur. Pour ce qui est de la chauffe progressive ?? Pas de réponse.
Voir dans le forum, rubrique chauffage ce qui peut se dire. Quitte à renouveler votre question.
Cordialement, M37.

Bonjour jeremy5662,

Même de qualité, un PVC ne vous fera pas dans le temps ce que vous fera un mur, ou muret.
D'autre part, sur 180 de haut, méfiez-vous de la prise au vent. En façade, voir aussi les dégradations...
A partir de là quoi vous dire de plus c'est aussi un question de goût.
Muret de 100 chaîné + grillage de 80 avec brise vue...
Muret de 100 chaîné + palissade en bois ou PVC à clairevoie (toujours à cause du vent).
Il existe tellement de possibilité.
Cordialement, M37.

Bonsoir,

On dit les peintures glycéro interdites et pourtant elles se fabriquent toujours... Comme quoi l'acrylique ne fait pas tout.
Beaucoup d'antirouilles pour le fer en ext. est encore glycéro.
Rien de mieux pour la tenue dans le temps et aussi pour la mise en œuvre.
Rien à voir entre une peinture brillante acrylique et une belle laque glycéro. Sauf les peintures auto qui maintenant sont à l'eau...
Mais là entre les secrets de fabrication et le savoir faire... et le prix.
Vous employez le terme "repétasser"... Ne seriez-vous pas du sud ouest ??
Dans le S.O., on repétasse beaucoup et surtout en couture.
Bonne soirée et par le net, une brouette de courage. Cordialement. M37.

Bonjour Scoy,

Vous pouvez faire votre enduit au ciment, à la chaux ou chaux//ciment.
Les premiers se nomment mortier, le troisième mortier bâtard.
L'avantage de la chaux, c'est que vous aurez un mortier plus "plastique", donc un peu plus souple à étaler.
Perso, je pencherai pour un mortier bâtard, 3/4 chaux 1/4 ciment blanc.
Pour la teinte avec des pigments, c'est très particulier et demande des essais. On ne mélange jjamais les pigments au mortier. Les pigments se mélangent à l'eau de gâchage. Tout doit être méticuleusement mesuré, pesé, avant le gâchage. Rien qu'une quantité d'eau différente changera la teinte.
Pour faire cette fausse pierre, il existe 36.000 façons de faire. C'est une question de goût ; d'outillage...
Il y a les joints pleins, les joints creux et aussi en relief (à éviter car ça retient l'eau).
Bonne journée, M37.

J'ai tenté une réponse pour la douchette.
Pour les peintures, on en trouve toujours en glycéro.
Le marché n'est pas tout à fait mort. Souvent dans des solderies mais aussi dans des magasins de bricolage. Quand sur le pot on voit nettoyage des outils au diluant ou white spirit, c'est de la glycéro.
Et oui je colle les plinthes.... Sur le placo, c'est évident, mais sur les murs anciens c'est bien plus pratique que de clouer, visser... Et quand la pièce est terminée, je fais pour finir un petit joint au pistolet avec du mastic acrylique.
Je trouve que ça finit bien, cela évite le trait noir qui ne tarde pas à apparaître et l'aspi ramasse mieux la poussière.
Bon courage pour le ponçage. Cordialement. M37.