On va être direct. Non seulement cette installation n'est pas aux normes bien que "refaite" (bricolée serait une meilleure qualification), mais en plus elle est dangereuse. Si vous achetez en l'état, il faut faire une sérieuse moins value en vue d'une réfection méthodique complète de l'installation électrique. Sans doute quelques milliers d'euros pour un travail qu'un électricien sur place pourrait chiffrer.

Il est probable que vous ayez déjà posé cette question, à laquelle des réponses claires ont été apportées il y a peu. Voir page précédente.

On ne comprend pas trop ce que vous voulez dire. Est-ce un problème avant la sortie du DJ d'abonné, auquel cas voir ma réponse en 2 (l'intervention de EDF peut être gratuite), ou bien après et dans ce cas c'est votre électricien qui résoudra ? Je crois, comme dit 1Insp, que votre électricien peut prendre en charge ce problème et vous conseiller, à savoir qui doit faire quoi.

Donc il s'agit bien d'un moteur universel comme sur les aspirateurs, perceuses etc.
Vous coupez les pattes du condensateur et c'est tout.
Surtout ne pas le remplacer par un fil, vous feriez un court-circuit à l'arrivée secteur. La commande au pied sera toujours opérationnelle.
Vous faites l'essai et vous dites.
Une petite photo de l'objet aurait pu faciliter le diagnostic.

Si la baisse de tension est constatée en sortie de DJ d'abonné, la ligne en amont en est responsable, donc EDF et ERDF. La tolérance est maintenant de + ou - 10 % donc ces valeurs sont dans la fourchette. Ces variations sont-elles gênantes ?

Ce n'est pas simple.

Piloter du chauffage électrique avec une commande "tout ou rien" n'est pas le meilleur choix. Les radiateurs de 30 ans ont fait leur temps, il faudrait investir dans des modèles actuels (de qualité) à fil pilote et régulation électronique 4 ou 6 ordres, puis asservir leur fonctionnement à l'aide d'un gestionnaire d'énergie multi zones pouvant être commandé à partir du compteur électronique.

Un variateur pour éclairage à incandescence domestique diminue la consommation, mais aussi l'intensité lumineuse donc le confort visuel. C'est une économie d'énergie très minime dans une habitation, négligeable par rapport à tout le reste. En réalité, les variateurs servent plus comme interrupteurs statiques que pour la gradation de lumière ; un interrupteur banal fait le même travail. Mais dans l'éclairage scénique, c'est une autre affaire.

Il y a dilemme. L'internaute ne précise pas l'usage se son transformateur. Bob 35 et HVS précisent bien que dans le cas de l'alimentation d'un circuit de commande d'automatisme en AC il est obligatoire de relier une sortie du secondaire (la bonne)à la terre afin de couper la commande au premier défaut, notamment lors du shuntage du BP arrêt par contacts accidentels avec une masse métallique obligatoirement reliée au conducteur de protection. Réponse 2 signale qu'en continu la mise à la terre n'est pas prévue. L'internaute doit donc apporter des précisions.

Il faut souscrire un abonnement de 15 kVA minimum peut-être 18, tout en sachant que le fonctionnement de tout ces convecteur ne pourra être simultané car il faudra de la réserve pour les autres récepteurs. Il faudra équiper l'installation d'un délesteur. Mais le fournisseur d'énergie ne pourra peut-être pas vous livrer en monophasé, mais plutôt en triphasé. Dans ce cas il faudra revoir le tableau de distribution. Mais avant tout, il faut rendre visite à l'agence EDF qui dessert votre région afin de finaliser l'aspect technique de votre projet, puissance à souscrire, livraison en mono ou en tri, travaux à envisager. Un électricien réalisera l'équipement.

OK. Mais il faudrait savoir la section de la ligne triphasée actuelle et si elle est protégée au départ. L'inter différentiel assure la sécurité pour votre départ moteur protégé par DJ 20 A. Vous pouvez utiliser votre DJ 20 A pour une prise ou deux (à voir), mais avant d'aller plus loin, il faudrait connaître la puissance des récepteurs triphasés que vous allez faire fonctionner, et comme déjà dit, la section.

Le variateur fait toujours un peu de bruit à mi réglage, la lampe peut vibrer ainsi que son enveloppe métallique, mais comme déjà dit, en général le variateur est plus utilisé comme interrupteur statique (arrêt-marche) que comme gradateur. Vérifiez la qualité des picots de contact de lampe, ces derniers s'oxydant très vite et sources de pannes très fréquentes ; il faut alors changer le support. A part cela, il n'y a pas grand chose à faire. Indépendamment du problème, vérifiez également la liaison à la terre, un lampadaire de ce type étant potentiellement dangereux à cause du passage des conducteurs dans des tubes métalliques articulés.

C'est moins le courant d'air froid que les poussières véhiculées dans les tubes qui sont gênantes, ces dernières pouvant à la longue provoquer des auréoles noires sur le pourtour de l'appareillage. Si l'on peut, il vaut mieux boucher avec des petits rubans de joints mousse extensifs tels que ceux utilisés par les poseurs de fenêtres pour étanchéifier les liaisons maçonnerie bâtis, comme le suggère Bob35. On peut également boucher avec une sorte de mastic qui reste mou, mais il faut en avoir dans ses "boîtes à tout" dans ses réserves.

Ce sont des convecteurs basiques sans inertie avec thermostat électronique et fil pilote. Il y a mieux bien sûr au niveau confort, mais un watt étant un watt, ils chaufferont. La consommation sera fonction de l'isolation de votre habitation, de la taille de cette dernière, de vos habitudes de vie, du réglage de chaque radiateur, de la présence éventuelle d'un système de gestion de l'énergie électrique facile à mettre en œuvre avec les fils pilotes. Une consigne de 20° est un peu forte, on peut baisser facilement de 1 à 1,5°, diminuer la consigne la nuit à 17°, le chauffage de nuit dans les chambres peut également être coupé. Bref, quel que soit le système de chauffage, il faut le gérer pour être maître de ses factures.

C'est bien vague comme descriptions de panne et d'appareil. Normalement le variateur doit afficher des codes concernant la bonne marche ou les défauts. Il faudrait activer une séquence d'autotest s'il y en a une. Mais à relire la question, on peut supposer que vous ne savez pas lequel est en panne ? C'est celui qui ne fait pas tourner le moteur.

C'est prévu pour être vendu, par pour être fiable (Made in RPC ?).

Pour un nouveau branchement à effectuer, votre interlocuteur est EDF en premier lieu.

Il n'y a pas de problème. Vous mesurez une tension induite avec un multimètre numérique qui ne consomme rien. Branchez une lampe aux bornes de la prise et vous trouverez 0 volt.

Si l'équipement en triphasé est équilibré, il consomme par phase environ 5400 W. Si vos équipements en monophasé sont répartis sur les trois phases, chaque phase délivrera 4400 W. Ce qui fait dans ce cas très favorable 9800 W, que l'on peut arrondir à 10 kW pour une phase ; donc une intensité par phase de 44 A. C'est beaucoup ; un abonnement en triphasé de 36 kVA devrait convenir. Dans tous les cas, il faut équilibrer.

Vous pouvez mettre un variateur à commande déportée. Mais en réalité, un variateur ne sert pas à grand chose, fonctionnant très souvent en mode tout ou rien.

Votre question est trop vague. Qu'appelez-vous boîtier heures creuses ? Pour quel branchement envisagez-vous une section de 6 mm2 pour la terre ? Merci d'apporter des précisions si vous voulez une réponse circonstanciée.

Si vous ne dominez pas ce type de branchement, il vaudrait mieux vous faire aider par un ami expérimenté sur place, avant qu'il vous arrive un accident.

On peut supposer que vos 3 plinthes sont alimentées par la même ligne avec des repiquages.
Vous pouvez mesurer la tension aux bornes de la première plinthe qui fonctionne et repérer les connexions et les couleurs des fils.
Vous faites de même pour la deuxième. Vous vérifiez le bon état des connexions.
La mesure que vous obtenez pourrait s'expliquer par l'usage d'un voltmètre numérique sur un circuit "en l'air", donc non raccordé.
Dans beaucoup de situations que l'on soit électricien ou pas, l'usage d'une lampe témoin est largement suffisant pour des dépannages basiques.
On peut associer les deux, brancher la lampe sur les bornes de mesure du voltmètre et faire les relevés de tension.
D'après vos constatations, on ne peut incriminer la plinthe, il devrait y avoir 220 V aux bornes. Il serait prudent de vous faire aider par quelqu'un plus expérimenté. GL

Bizarre en effet. Il faut vous assurer tout d'abord que phase et neutre de chaque radiateur soit connecté entre phase et neutre réseau. La tension de commande du fil pilote est référencée par rapport au neutre réseau.

Apparemment, la société n'existe plus. Un électricien sur place pourrait sans doute trouver la solution, après quelques observations du bornier et du câblage, voire quelques mesures.

Eh oui. (D'après C15-100).

Avant de dépanner à distance, il faut que le nouveau moteur ait des caractéristiques identiques à l'ancien. Certes, il est un peu plus puissant et ce n'est pas grave (bien que le courant de démarrage soit plus important et ce sera à voir par la suite), par contre il tourne 2 fois plus vite et le compresseur n'est pas prévu pour. Il faut donc changer ce nouveau moteur contre un 4 pôles si possible de même puissance que l'ancien.

Après recherches sur le WWW, cette pompe serait livrée en kit, prête à monter, donc livrée avec un schéma de branchement. Le plus simple serait que vous contactiez le distributeur en France : luzoro-moteurs.com/

D'après le document, l'alimentation en triphasé n'est pas possible (N + 3Ph), ce qui impliquerait une alimentation en monophasé 32 A comme signalé par le vendeur.
Pour qui possède une installation en tri, c'est très mauvais pour l'équilibrage. Par contre, il y a possibilité de faire une alim avec le neutre et 2 phases.
Ce n'est pas le top pour l'équilibrage mais mieux qu'en mono ; une alimentation en sortie de DJ tripolaire 16 A conviendrait. GL

Certainement que vos radiateurs ne sont pas de grande marque (et il y en a d'excellentes made in France), et que ce sont des premiers prix de GSB. Il n'y aura pas grand chose à faire si c'est le cas.

Il existe différents types de thermomètres. Quant au thermostat, il doit avoir certaines caractéristiques. Il faudrait être plus précis dans votre description afin de savoir s'il y a un moyen de marier les deux fonctions qui ont d'ailleurs beaucoup de points communs.

Il faudrait pouvoir mesurer la tension disponible en charge (donc avec récepteur branché) sur vos prises de courant ; s'il n'y a pas assez de puissance disponible d'après ce que que vous dites, qu'en est-il d'autres récepteurs branchés sur ces mêmes prises ?

Voir question 5059 où ce problème est traité.

Aucun problème technique.

C'est simple. La borne est desserrée, un mauvais contact avec étincelles a entraîné une surchauffe.
Il faut couper le fil sur quelques cm, dénuder et refixer le tout.
Voilà pourquoi on ne doit pas mettre 2 fils sur la même borne d'un appareillage.
Il faut resserrer toutes les connexions sur l'appareillage du tableau, disjoncteur d'abonné coupé. GL

Effectivement, nous ne serions pas rassurés non plus. On peut supposer que la tension de 140 V est mesurée entre la borne de terre (alors non raccordée) du cumulus et le neutre de l'installation (avec une variante possible phase terre, ce que vous ne dites pas). Cette tension est peut-être mesurée avec un multimètre numérique, et ce pourrait être une tension induite non dangereuse. Pour en être certain, il faudrait que l'électricien connecte une lampe témoin de quelques dizaines de watts entre les pointes de touche de son multimètre. Si l'hypothèse est vraie, cette tension neutre terre devrait être nulle (voir les conseils de BB l'ancien sur ce forum); dans ce cas, le cumulus serait hors de cause, d'autant plus qu'il est neuf. Des internautes ont déjà cité le cas de ce type d'immeuble non raccordé à la terre, d'autres occupants ayant des appareils reliés à la tuyauterie et présentant des défaut d'isolement non détectés par des différentiels 30 mA. Bref, il y a des investigations à mener avec votre électricien, et c'est sans doute pour vous le début d'un long travail. Bon courage et tenez bon.

Les disjoncteurs d'abonnés tarif bleu ne sont pas réarmables, étant tous à commande manuelle. Voir pour cela les catalogues Legrand, Schneider Electric et autres.

La motorisation par moteur asynchrone triphasé se justifie de la façon suivante : le système demande un couple au démarrage très important, ainsi qu'un fonctionnement avec deux sens de rotation. Notez que 3 kW est la puissance utile et que cette valeur est également indispensable pour mettre les masses en mouvement. Bricoler avec un condensateur pour faire fonctionner le moteur en monophasé n'est pas envisageable pour cette application.
Néanmoins, vous pouvez faire fonctionner ce moteur tri avec un convertisseur 220 V mono 220 V tri (couplage du stator en triangle) si vous avez au moins 25 A disponible en ligne. La gamme DIGIDRIVE SK Leroy-Somer peut convenir à votre application - modèle SKDD 200300 pour moteur 3 kW.
Il faudra adapter la commande du pont au convertisseur et assurer toutes les sécurités.
Cela est un travail d'électrotechnicien expérimenté après étude préalable.
Voir la notice PDF des convertisseurs Digidrive SK Leroy-Somer disponible ici.

Voir question 4655, et le lien vers le document Legrand.

C'est embêtant d'utiliser un éclairage scénique sans avoir trop de connaissances en électricité. Néanmoins, quelques précisions. Votre gradateur, dont on aimerait connaître la puissance, nécessite un raccordement en triphasé (3 phases + neutre + terre) sur une alimentation pouvant délivrer son courant nominal par phase. Ce n'est qu'ainsi que vous pourrez tirer le maximum de votre appareil. Vérifiez si la salle est alimentée en triphasé, et au besoin faites installer une sortie triphasée protégée par un disjoncteur tétrapolaire. Dans le cas contraire, il y a toujours possibilité de faire fonctionner le gradateur en monophasé en réunissant les 3 fils de phase (sur le bornier), mais il faudra charger les sorties bien en dessous de leur maximum, le paramètre à prendre en compte étant l'intensité maxi disponible sur la prise monophasée, 16 à 20 A d'après ce que vous dites. Il serait prudent de vous faire aider par quelqu'un de plus expérimenté qui pourra faire le raccordement dans les règles (fiche tri femelle 3Ph + N + T - prise mono mâle Ph + N + T - et le câble).

Si ce composant est branché entre phase et neutre de l'alimentation, ce peut être effectivement un condensateur. En cas de défaut, ce composant émet une fumée blanche avec une odeur très forte, puis se coupe. Vous dessoudez ou coupez, le prenez en photo et la joignez à un prochain envoi, juste pour voir. Si les conditions sont celles supposées, vous rebranchez la plaque sans le composant (en tenant bien compte du "si" en tête de ce post). S'il y a d'autres manifestations immédiates auditives ou malodorantes, coupez tout et faites intervenir un SAV.

Ce n'est pas un problème de puissance, mais de transmission de signal vidéo. Vu les fréquences de signaux à transmettre et la longueur de la ligne, l'utilisation de câble téléphone risque d'apporter un affaiblissement du signal telle que l'image, s'il y en a une, soit de très mauvaise qualité. La notice du produit doit préciser les longueurs et types de câbles à utiliser. Il existe des portiers vidéo de grande marque permettant des transmissions sur de telles longueurs. Mais il faut y mettre le prix.

107 A correspond à un démarrage dans le triangle. Le tableau indique qu'en démarrage dans la ligne ICL vaut 62 A. Donc même avec un réglage de In à 0,4 ICL, le démarreur devrait fonctionner sans indiquer PHF. On attend la suite.

Devinette. Il faudrait voir la notice de branchement du ventilateur, normalement livrée avec s'il est neuf. Pour le plafond, il faut repérer s'il s'agit d'un double allumage (2 interrupteurs dans le même boîtier à l'entrée de la pièce): dans ce cas, à quelles couleurs correspondent le neutre et les 2 phases coupées ? Avec une lampe témoin, en vous faisant assister par un ami expérimenté, vous arriverez à résoudre cette énigme.

Cela ressemble aux effets d'une surtension sur la ligne. Le micro ondes ne doit pas être la source de ces détériorations, n'étant qu'un récepteur comme les autres. Il faudrait que l'électricien fasse une expertise approfondie (nature exacte des défauts de chaque appareil), et que la personne fasse une déclaration d'accident auprès de son assurance, afin que cette dernière prenne en charge le montant des dégâts.

Sans connaître ce groupe et vu sa puissance, celle-ci doit être de 11 kVA en triphasé, ce qui correspond à une intensité disponible par phase d'environ 16 A (3,7 kVA par phase).
Le climatiseur demande 7 kVA en tri, et la table à induction au moins 6 kVA à plein régime. Le problème est que cette plaque devrait pouvoir fonctionner en triphasé ; il faut vous en assurer.
En cas de disparition réseau, il faut basculer l'alimentation de la maison (ou une partie prioritaire) en sortie de groupe électrogène.
L'opération doit être manuelle chez un particulier, l'automatisme ne se justifiant pas.
Les lampes et la télé ont une consommation, sinon négligeable, petite par rapport au reste.
Une étude préalable avec bilan de puissance s'impose, la réalisation technique étant sous-traitée à un électrotechnicien expérimenté. GL

Bien reçu, mais qu'appelez-vous coefficient de démarrage ?
Cette puissance de 5 500 W est-elle disponible en monophasé ou en triphasé ? Pareil pour le cumulus. Merci d'apporter quelques précisions. GL

Vous pouvez déjà jeter un œil sur la question 5250.

"On" a confondu la plantation des arbres avec la réalisation d'une prise de terre. Pour ce dernier point, voir le document Promotelec disponible ici. Un ou plusieurs piquets et une masse devraient suffire. Pour les arbres, bientôt le forum jardinage.